Revue
L'Or aux 13 îles
n° 4
Livre
Vols de chouette, caresses de chat
de Roger Renaud
Sommaire
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Par la poste et par chèque
à l'ordre et à l'adresse de
Jean-Christophe Belotti
7 rue de la Houzelle
Veneux-Les Sablons
77250 Moret-Loing-Orvanne
30 € pour la France
28 € pour l'étranger
(tarifs spéciaux livres
et brochures)
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Toujours attendue, la livraison d'un numéro de la revue L'Or aux 13 îles, consacré par son créateur Jean-Christophe Belotti à l'art protosurréalisticonaïvobrut, et régions circonvoisines, s'annonce dans la joie.
Axé autour d'un "bel ensemble d’œuvres d'Alan Glass, méconnu hors du Mexique où il réside, et du Canada où il a vu le jour", ce troisième volume fait les présentations : Alan Glass a travaillé avec Leonora Carrington à Mexico, avec Alejandro Jodorowsky, dessina beaucoup, fut exposé à Paris par Breton et Péret, composa également des boîtes.
Eric Dussert, sur le site L'Alamblog
Cette nouvelle publication devrait nous faire naviguer sur les vagues de Neptune en partance vers nos îles intérieures ; îles sans cesse en mouvement tel le pouls de nouveaux territoires à explorer.
Fabrice Pascaud, sur le site Arcane 17
C’est une revue qui devrait plaire à mon ami Dominique Noguez et, bien sûr, à Annie Le Brun. Elle s’insurge contre la rhétorique de la déploration, cette lucidité du pauvre, qui finit par se substituer à ce dont elle pleure la disparition.
Revue d’inspiration surréaliste dirigée par Jean-Christophe Belotti, L’Or aux 13 îles proclame haut et fort qu’il n’y a jamais rien eu, qu’il n’y aura jamais rien, hors des chemins de l’écart. "Et j’appelle oniricide, écrit Belotti, aussi bien ce qui restreint l’action de la vie que ce qui, tout en croyant la défendre, ne l’amplifie pas."
Roland Jaccard, sur son site personnel
Une nouvelle revue qu’on me fait découvrir et dont le titre me séduit illico, L’Or aux 13 îles. Le premier numéro a vu le jour en janvier 2010 déjà (j’suis pas en avance sur mon temps cette fois-ci ! ). La finalité est aimablement définie dans le texte d’ouverture («Où le rêve trébuche sur sa réalité») : « Toute l’ambition de la revue prend sa source dans la possibilité qu’a notre esprit de se délier et de s’écarter du donné le moins exaltant, de tendre à ce dernier le miroir d’une liberté renouvelée en se libérant lui-même des signes figés que lui sert la seule fatigue du monde. Il s’agit de faire valoir cette liberté pour elle-même, et de donner à voir les résultats — toujours provisoires — de son action et de ce jeu sans fin. » Le contenu s’avère alléchant ; j’y épingle un article sur le génial Jan Svankmajer et un second (de 38 pages ! ) parfaitement remarquable sur l’Abbé Fouré, l’ermite de Rothéneuf, où l’on découvre nombre de documents iconographiques rarement (voire jamais) vus jusqu’ici. La thématique de la deuxième livraison, « L’homme hanté par l’animal », a tout pour plaire tant au niveau des plumes (Vincent & Gilles Bounoure, Bruno Montpied, Pierre Peuchmaurd entre autres) que du poil à gratter les yeux quant aux hallucinantes illustrations. Le n° 3 (« Alice in Wounded Land ») est tout aussi bandant. Toute une flopée de dessins et gravures d’Alan Glass, illustrant, entre autres, un poème de Leonora Carrington en justifient à eux seuls l’acquisition. Bref, une revue 100% impeccable.
André Stas, chronique parue en 2016 dans le n°229 de la revue C4, le magazine qui vous pend au nez.